On sait que l'attachement presque indéfectible à son quartier, comme par exemple, celui que décrit Henri Coing (dans le classique : Rénovation urbaine et changement social, Editions Ouvrières, Paris, 1966), n'est plus de mise à l'heure de la mobilité ou du "malaise" des banlieues.
Une étude de l'Insee nous donne des informations sur cette nouvelle manière d'aimer tout en conservant un regard critique sur son quartier :
Thomas Le Jeannic, "On pardonne tout à son quartier sauf... l’insécurité, les dégradations, le bruit", Insee Première n°1133 - mai 2007.
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